Jeudi 12 juin - Nouveau programme Nitcho Reinhardt, le neveu du grand DJANGO - Sylvia Howard (Adrien Moignard indisponible)

nitcho-reinhardt-415240sylvia-howard-4tet-415241

Présentation

Jeudi 12 juin - Nouveau programme en raison de l'indisponibilité d'Adrien Moignard 
Le festival propose une ouverture avec Nitcho Reinhardt, le neveu du grand DJANGO avec un second concert en plus : Sylvia Howard , divine chanteuse.

Chapiteau en bas du village - Ceillac - 20h30
Tarif soirée : adulte 26 € - enfant de 15 à 18 ans : 13 € - Gratuit pour les moins de 15 ans

20h30 - Nitcho Reinhardt, le neveu du grand Django.
A découvrir dès maintenant en cliquant sur ce lien

N’est pas guitariste prodige qui veut et en même temps issu de la même famille que le grand Django Reinhardt. C’est pourtant le cas de Nitcho Reinhardt. Autodidacte, il apprend la guitare en écoutant les disques de son idole et cousin par sa maman Django Reinhardt, le vrai, le seul, l’unique (ils ne sont pas légion en France). C’est donc avec une certaine logique qu’il interprète les grands standards du jazz manouche.
Cependant, Nitcho ne se contente pas de cet héritage et il ne peut s’empêcher de suivre ses propres traces. Ses compositions lui permettent alors d’exprimer toute sa sensibilité, sa finesse et même une certaine forme de mélancolie. Musicien professionnel, il ne cesse de progresser parcourant toutes les scènes avec son frère Youri Reinhardt à la guitare rythmique et Thierry Chanteloup à la contrebasse…
Avec son album intitulé «Une Histoire», Nitcho explore les sillons tracés par Django, sans délaisser ses compositions personnelles où il peut alors exprimer tout son talent et son imagination !

21h30 - Sylvia Howard, divine chanteuse
A découvrir dès maintenant en cliquant sur ce lien

Sylvia Howard , née à Indianapolis (Indiana), le 29 avril 1955, est une chanteuse d’une intensité rare. Son parcours de vie sur lequel elle revient ici explique la profondeur de son expression. Elevée dans une
famille religieuse, elle est imprégnée, dès son plus jeune âge, par la musique afro-américaine sacrée comme profane. Elle chante dans des chorales scolaires et à l’église. Son don vocal est remarqué, mais si, à Indianapolis, elle participe à la vie d’un théâtre associatif, ce sont les coulisses qui l’intéressent; pas de monter sur scène. Quelques années plus tard, elle mène à Phoenix (Arizona) une vie «ordinaire» de femme mariée et d’employée de bureau, quand elle se retrouve devant un micro sur la scène d’un club de jazz. Sans quitter son emploi, elle entame une carrière de chanteuse, parcourant les restaurants, les clubs et les festivals de la région.
Les choses s’accélèrent à l’aube des années 1990, quand on lui propose un contrat pour chanter pendant trois mois dans un grand hôtel de Singapour. A partir de cette expérience, Sylvia Howard se produit de palace en palace, de Djakarta à Hong Kong et de Bali à Kuala Lumpur. Rêvant d’Europe, elle débarque à Paris en 2000, où elle décide de s’établir. Mais l’époque où Paris savait reconnaître les talents du jazz est révolue, et si les musiciens américains et français connaissent sa valeur, le grand public du jazz méconnaît encore cette interprète de premier ordre, dotée de cette rage de vivre et qui, dans les fêlures et les épreuves a forgé l'autenticité des son expression. 


La réservation en ligne est possible jusqu'à 17h le jour du concert.
Les billets sont également en vente dans tous les points d'accueil de l'Office de Tourisme du Guillestrois et du Queyras jusqu'à 17h le jour du concert

Ensuite achat des billets sur place

Disponibilités